Bédoré et sœur

— Bonneterie de la rue Gaillon. Les premières années du Bonheur des Dames lui ont fait perdre la moitié de sa clientèle [28]. Bédoré ne tient qu’en mangeant les rentes amassées jadis [263]. Il est travaillé de soucis qu’aggrave sa maladie d’estomac.