Hupel de La Noue

Préfet du second Empire, très mondain, passant huit mois de l’année à Paris [29]. Il conte les histoires scabreuses d’une façon très piquante [36], se mêle de littérature aimable et a composé un poème en trois tableaux, les Amours du beau Narcisse et de la nymphe Écho, qu’on représente chez Saccard et que l’auteur a mis en tableaux vivants pour ne pas alourdir par des vers un sujet si noble [274] Ce préfet aimé des dames a déployé dans son département une telle vigueur pour l’élection de Mareuil que les autres candidats n’ont pu même afficher leur profession de foi ni distribuer leurs bulletins [243]. (La Curée.)