— Était vers 1790 un jeune noble du quartier Saint-Marc, à Plassans; il se trouvait lié avec le ménage Puech et a été sans doute le véritable père de Félicité. En 1818, c’est un petit homme de soixante-quinze ans, maigre, actif [90]. Ruiné par les femmes, il vit en parasite chez un parent, le comte de Valqueyras; il est l’agent actif du parti légitimiste, mais sceptique et sentant le vent, il favorise, tout en s’en moquant, les manœuvres bonapartistes des Rougon et, après le coup d’État va se faire oublier quelque temps dans le domaine de Corbière [370]. (La Fortune des Rougon.)