— Vendeuse au tas [13]. Digne femme, très bourrue, dépassant soixante-dix ans, veuve d’un ancien cocher de fiacre [202], adore les enfants, a perdu trois garçons au berceau [196]. Elle habite depuis quarante-trois ans un grand galetas délabré de la rue au Lard [198]. Gagne encore ses quarante sous par jour Vers la soixantaine, elle avait fait la trouvaille de la petite Cadine, prés du marché des Innocents, puis elle avait recueilli Marjolin et les avait élevés ensemble. Plus tard, furieuse des polissonneries des deux enfant [220], elle reste impuissante à les corriger. (Le Ventre de Paris.)