— Père de Jules d’Escorailles. Appartient à la vieille noblesse du quartier Saint-Marc, à Plassans. Depuis la chute du roi Charles X, il n’a pas remis les pieds à Paris. Mais, pour assurer l’avenir de son fils, il l’autorise à servir l’Empire et, s’il feint de le renier devant le monde, il travaille à son avancement d’une façon sourde et continue, affectant une humble attitude devant le triomphant Rougon qu’il condescend à traiter d’ami et de compatriote [258], redevenant hautain, plein de morgue et d’insolence, aussitôt qu’il sent la disgrâce de Rougon [410]. Il pousse le manque de dignité jusqu’à mettre son fils aux genoux de Clorinde pour obtenir une sous-préfecture [431]. (Son Excellence Eugène Rougon.)