— Père de Léon Grégoire. C’est avec lui que la fortune commence. Les intérêts du denier ont monté peu à peu, Félicien peut réaliser un rêve dont son grand-père Honoré, l’ancien régisseur, a bercé son enfance : l’achat de la Piolaine démembrée qu’il acquiert, comme bien national, pour une somme dérisoire. Cependant, les années qui suivent sont mauvaises, il faut attendre le dénouement des catastrophes révolutionnaires, puis la chute sanglante de Napoléon [84]. La petite fortune de Félicien Grégoire passe à son fils Léon [84]. (Germinal.)