Madame de Llorentz née LA ROUQUETTE

— Sœur du député La Rouquette. Veuve d’un général d’origine espagnole [85]. Belle blonde un peu forte, yeux biens. Elle est dame du palais de l’impératrice. A l’époque du mariage de Napoléon III, M. de Marsy, amant de madame de Llorentz, lui a écrit, pour l’égayer, des lettres pleines de détails piquants sur le couple impérial. Extrêmement jalouse, elle a conservé ces missives et les tient suspendues sur la tête de M. de Marsy, comme une vengeance toujours prête [188]. Clorinde, au courant des faits et pressée de voir un changement de ministère, affole, la dame qui, dans un coup de colère, livre à l’empereur les lettres compromettantes [221].****(Son Excellence Eugène Rougon.)