Louisette

La fille cadette de madame Misard (tante Phasie). Une enfant mignonne, blanche et douce, qui s’est prise d’affection pour le bon géant Cabuche. Placée comme femme de chambre chez madame Bonnehon, au château de Doinville, elle a subi les honteuses violences du président Grandmorin, et, affolée, meurtrie, s’est sauvée pour aller mourir citez son ami Cabuche, à qui elle a conté l’attentat dont elle vient d’être victime [46]. (La Bête humaine.)