Colonel Masson

— Adirigé avec le préfet des Bouches-du-Rhône, en 1851, la terrible répression des troubles qui suivirent le coup d’État. Au retour, il s’arrête à Plassans, ayant soin de faire passer hors de la ville ses soldats, las et muets, encore saignants de la tuerie de Saint-Roure [360]. (La Fortune des Rougon.)