— Un condisciple de Claude Lantier et de Pierre Sandoz au collège de Pîassans. C’était un farceur émérite : il a transformé, un jour, en chambre ardente, l’armoire du professeur Lalubie; une autre fois, il a attaché tous les pots de chambre du dortoir à une même corde qui passait sous les lits, puis au matin, un matin de grandes vacances, il s’est mis à tirer en fuyant par le corridor et par les trois étages de l’escalier, avec cette effroyable queue de faïence, qui bondissait et volait en éclats derrière lui [38]. Mais ces folies de collégien ne l’empêchent pas d’avoir, dès l’âge de vingt ans, toute la gourme imbécile d’un bourgeois qui se range, il fait son droit, reprend l’étude d’avoué de son père, et plus tard, devenu très grave, il a des ennuis pour s’être laissé pincer avec des petites gueuses de douze ans [448]. (L’Œuvre.)