— Fille de Guiraude. Prédestinée à la phtisie par hérédité, elle est sauvée, grâce au docteur Pascal, qui l’envoie chez une tante à la campagne, la faisant pousser en plein soleil [51]. Pendant que son frère Valentin s’étiole et meurt dans le logis maternel, à Plassans, Sophie, loin de la contagion du milieu, a pris de la chair; elle est d’aplomb sur ses jambes, elle a les joues remplies, les cheveux abondants [53]. A dix-sept ans, on la marie avec un garçon meunier des environs [213]. (Le Docteur Pascal.)